Depuis deux ans, dû à la pandémie, on a vu beaucoup de progrès dans le domaine de la télémédecine. Plusieurs pratiques impossibles hier sont devenues des choses maintenant courantes, l’exemple de la consultation d’un/e infirmier/ère ou un médecin en vidéoconférence sur son téléphone intelligent est le plus éloquent.
Un autre domaine qui bouge « numériquement » au Québec, c’est le domaine de la recherche. J’apprenais par le biais de l’entreprise montréalaise Kelvin Zéro que le Centre de recherche de l’Institut de cardiologie de Montréal se lançait dans l’essai clinique virtuel pour garder le lien et faire du suivi auprès des patients, des participants qui contribuent aux divers programmes de recherches.
Les mentalités ont changé et depuis, même le gouvernement québécois a été tenté par cette nouvelle approche. Pour comprendre concrètement ce que ça change, ce que ça permettra, je vous propose cette rencontre avec le Directeur du centre de recherche de l’Institut de cardiologie de Montréal, Dr Jean-Claude Tardif.