Si ma mémoire est bonne, ça fait bien plus de 17 ans qu’étude après étude, je consulte, j’analyse et reprends les données du CEFRIO pour parler de l’adoption du numérique par les Québécois.
À l’époque à Radio-Canada, parallèlement dans les pages de La Presse, du Devoir, à Musique Plus, dans mes bouquins et encore aujourd’hui, dans mon podcast et dans mes diverses publications dans les réseaux sociaux, j’ai toujours fait confiance à la rigueur des équipes de recherche du CEFRIO pour nous donner un portrait réaliste de la situation.
Pour moi, le CEFRIO demeure la référence incontournable à consulter lorsque vient le temps de parler du Québec et son évolution numérique. L’organisme nous permet, année après année, d’avoir un portrait fidèle de l’adoption du numérique dans divers secteurs de l’économie québécoise, en plus de nous confirmer l’utilisation qu’en font les Québécois eux-mêmes.
C’est pourquoi, lorsque son PDG Michel Langelier m’a approché pour connaitre mon intérêt à collaborer avec l’OSBL, à prendre le mandat de devenir le porte-parole, je n’ai pas hésité longtemps avant de dire oui. Et donc, à compter de la semaine du 3 juin prochain, je commencerais officiellement à être le porte-voix du CEFRIO pour les accompagner dans leur mission d’appui à la réussite numérique du Québec.
Pour moi, cette collaboration avec le CEFRIO, avec ses chercheurs et ses partenaires, c’est d’abord un honneur, et aussi, la suite logique d’un travail, d’une passion, qui dure depuis plus de 25 ans à communiquer jour après jour l’adoption et l’impact des technologies du numérique dans la vie des Québécois.
Mais je vous rassure, parce que ce n’est pas un « poste à temps plein », parallèlement je poursuis toujours mes activités de consultant, de conférencier, de production de podcasts et surtout, d’animateur et producteur de Mon Carnet. Et j’en profite au passage pour remercier les organisations qui me font confiance depuis novembre 2015 pour leur venir en aide. Et un remerciement également à vous, lecteurs et auditeurs, qui êtes là (pour certains depuis 25 ans), à mes côtés dans cette grande aventure du numérique.
Il y a longtemps, mon ami Hervé Fischer écrivait à mon sujet : « Voyageur au long cours des cyberocéans, Bruno Guglielminetti a repris la tradition italienne de Marco Polo et des grands explorateurs sous le vent ». Cette comparaison, que j’ai toujours trouvée flatteuse, m’a beaucoup inspirée au fil des années et aujourd’hui encore, j’ai toujours la même passion d’explorer de nouveaux horizons numériques pour en trouver l’intérêt et le sens pour les Québécois…
Je termine avec cet extrait d’un communiqué publié aujourd’hui par la direction du CEFRIO… Et je vous souhaite une excellente journée. Je vous donne rendez-vous vendredi, entre vos deux oreilles, pour le prochain rendez-vous du podcast Mon Carnet !
*****

Source de l’extrait du communiqué :
CEFRIO – www.cefrio.qc.ca
Information
Roger Léger
Communication et mise en valeur des projets
514 602-5745 | roger.leger@cefrio.qc.ca